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quinta-feira, 18 de agosto de 2016

BRÉSIL: Géopolitique US x BRÉSIL

LA CHOSE EST RUSSE!


Salut les amis pardonner à mon impudence avec le langue français, mais je dois vous dire quel est le problème avec mon pays bien-aimé Brésil. Merci Marina da Silva

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www.google.com.br/images. Manifestations Dilma impeachment déjà. Ceci est la synthèse de la philosophie de la vie et projet national pour les "coxinhas"! Autoritarisme, dictature militaire et le Brésil "prostré" aux Etats-Unis.

Marina da Silva

Qu'est-ce que l'Oncle Sam n'a jamais conduit le Brésil au sérieux en tant que nation souveraine, toujours ridiculisé les politiciens brésiliens un groupe de provinciaux et méprisé le peuple comme de simples singes est historiquement connu; ainsi que l'aversion du Brésil aux États-Unis, sauf pour les "coxinhas" (une faction de la classe moyenne irrationnelle, égoïste, conservateur, dont la consommation climax est à New York, Miami et Disneyland) et toujours réclamer une intervention étrangère États-Unis au Brésil en utilisant la doctrine maximum: les Amériques appartiennent aux Américains!
Le géant idiot, il est connu au Brésil, couché dans la splendeur de la richesse, ne jamais mettre la peur à personne et encore moins aux États-Unis. Le Brésil est le pays du futur ou «La clé de l'avenir», a déclaré Richard Nixon [1968-1974] á son conseiller sécurité nationale Henry Kissinger; Il est ce qui compte Matias Specktor dans  Kissinger et au BrésilLa vérité est que la lecture de Matias ce qui est apparent est que les États-Unis ne se souciait pas pour le Brésil et ses généraux et encore moins pour la diplomatie brésilienne! Les Américains avaient pas l'intention de "renforcer" le Brésil, même si elle devait gérer, parce que le géant idiot était considéré comme pays ami, lire, le Brésil fait tout ce que l'Oncle Sam commandes et est une nation "sans importance" dans le match d'échecs mondial bipolaire contre  Russie puissante!
Les États-Unis avait de grandes choses à gagner parmi eux: la lune (1969), un partenariat ouvert avec la Chine communiste (1972), traité à proximité sur la non-prolifération des armes nucléaires avec le socialiste / communiste russos- URSS (1972)
fin  défaite,  ops, la guerre avec le Vietnam (1973), regarder les problèmes entre Israël, l'Egypte, la Syrie; occuper de la crise du pétrole au Moyen-Orient, etc. et Watergate qui a conduit à la démission de Nixon en 1974!
Le risque du Brésil d'être capturé par les communistes était zéro après le coup d'Etat militaire du 31/03/1964. Les «vaches en uniforme," auto-désignation donnée par un général, ont été concernés que par les excédents commerciaux, persécutent, emprisonner, torturer, tuer sadiquement Brésiliens qui ont lutté contre la dictature et paradant leurs uniformes, les forces!
Le partenariat États-Unis - Brésil, si elle existait, n'a pas laissé le papier et la tête de Kissinger et Silveira, diplomate brésilien; fait que conclut la recherche et l'analyse de la correspondance entre eux par Matias.
Kissinger dis que aux États-Unis est une puissance ambivalente "Agissant au nom de l'humanité tout entière" et bien sûr, d'imposer un ordre mondial, inclus le Brésil! Par ambivalence, nous entendons: dans le long voile de «destinée manifeste» Aux États-Unis a la mission divine  pour amener les infidèles adoration et de louange aux valeurs de «liberté», la république et la démocratie (est le dernier pas nécessairement loué dehors de l'Amérique) camouflant l'ambition, la motivation impérialiste avide, et sans fin  Oncle Sam ! Pour mémoire: chaque nation qui veut être l'empire a reçu la même "mission divine"!
Depuis le dernier quart du XIXe siècle, les États-Unis étaient certes une grande puissance qui a réglé une fois comme une superpuissance avec des éloges à court XXe siècle marqué par l'effondrement du marché boursier en 1929; deux grandes guerres mondiales qui ont secoué avec les puissances européennes et le Japon et avec l'adversaire un seul rival redoutable: les impérialistes et ultra durcis  russes pendant la guerre froide. Le monde était divisé en deux blocs: les capitalistes dirigés par les États-Unis et communiste mené par l'URSS Union des Républiques socialistes soviétiques (lire la Russie). Ce qui a empêché une superpuissance d'avaler l'autre? La bombe atomique, parce que les deux Russes et Américains savaient qu'une troisième guerre mondiale atomique viendrait à une froide encore plus!
Les Américains ont été la construction d'une nation "milieu de nulle part" du XVe siècle, nouveau monde, période pour la de découverte   tandis que les Russes ont été élargis expulsant territorialement les Tartares et imposant la construction d'un empire à l'envie et la cupidité incitent puissances européennes avec Ivan-grand; Ivan le terrible; Pedro-grand; Catarina grand. En fait, tout ce qui concerne la Russie est grande et terrible: un vaste continent froid, puissant, grand et géopolitiquement astucieux, intelligent, impitoyable, propriétaire d'une immense richesse  le pétrole et le gaz naturel qui fournissent une multitude de pays inclus Europe.
La dépendance énergétique est une arme géo-stratégique majeur qui permet à des «abus» de la Russie contre les voisins et
tais-toi Européens à  toutes les atrocités de guerre commis par les Russes contre leur propre peuple, les Soviétiques tout au long du XXe siècle. La difficulté à gagner la force russe: l'immensité du territoire, les conditions météorologiques extrêmes et surtout la loyauté, le courage et la résilience du peuple aux nombreuses adversités, au-delà du caractère dur, impitoyable et sanglante de cette commande éventuellement créer le bon sens des Brésiliens l'expression: La chose est russe à de grandes difficultés et adversités de la vie! Quand quelqu'un dit que, au Brésil "La chose est russe" savoir qu'il est pratiquement impossible de surmonter l'obstacle même dépenser beaucoup d'efforts et la force supplémentaire! Si l'entreprise est russe vai  donner la merde! Il est la loi.
Alors que les États-Unis a créé une nation puissante dans la même période le Brésil a passé colonie de exploitation portugaise [1500-1822] l'empire exploité par l'anglais, le portugais, le néerlandais, le français et etc [1822-1889]. Old Republic 1889-1930 dominé par oligarchies coronelista, propriétaires terriens, esclave, le pays entre dans la nouvelle République [1930-1935] fondée par Getulio Vargas crée alors un "nouvel état" dictature cruelle, sanglante [1935-1945]. Avec un coup, Vargas réoriente l'économie à l'industrialisation marquant le début du capitalisme au Brésil en encourageant la «substitution des importations», l'industrie de base.
En commun, les Etats-Unis et le Brésil a la «naissance» et de la colonisation par les Européens (espagnol, français, anglais, portugais, néerlandais ...). Sont deux nations qui ont fondé "de nulle part" sur la terre "pas habitée" par des millions d'Indiens. Il est dit que "Avant que l'homme est venu ici la terre brésilienne a été habité et aimé par plus de trois millions d'Indiens, heureux propriétaires de terre de brasilis »: Tupi, Guarani, Tapajós, Aymorés, Carijós, Caetés, citant quelques exemples. Le même chante au sujet de la terre américaine: Apaches, Sioux, Cheyenne, Cherokee, Comanche, etc.
Si le Brésil a inspiré les soins  géostratégique et géopolitique aux États-Unis, ceux-ci ont été causés par Fidel Castro qui a ouvert les "Latins" l'alternative au capitalisme, le communisme russe. La propagation de l'option communiste a attiré l'Amérique latine et ravivé le communisme dans le pays qui était pratiquement mort et enterré par Vargas dans la persécution et la décimation des "Intentona  communiste Carlos Prestes et l'Intégralistes".
Vargas n'a pas été Oncle Sam fan et flirté ouvertement avec Hitler; il flirt avorté dans le bourgeon lorsque le Brésil était la Seconde Guerre mondiale disappointing les Grecs  comme les Troyens, ops, russe et allemand.
La géostratégie des Etats-Unis au Brésil à partir de là était la consolidation du capitalisme avec le transfert de l'industrie, en particulier les industries polluantes, très polluantes, en fermant les yeux sur l'absence de liberté, la justice, la démocratie, les droits de l'homme et «purges» de dictateurs. L'internationalisation des industries et des capitaux a "tué deux oiseaux avec une pierre": renforcer l'hégémonie des États-Unis en Amérique latine et interdit les aspirations du  commande socialiste/ communiste URSS-Russie sous l'équateur!
L'inondation du capital a alimenté le développementalisme de Juscelino Kubistcheck, JK et le rêve d'accélérer la croissance au Brésil - 50 ans 5 - réjoui les conservateurs et les dictateurs et ont jeté le pays dans une dette extérieure absurde et captive au Fonds monétaire international.
Brésil qui vous USA (Unité Unis d'Amérique) pas AMA vous Dénoncé  à gauche dans les premières élections libres et démocratiques en 1989! Brésil montre votre visage Je veux voir qui paie pour nous de rester de cette façon. Brésil ce qui est votre entreprise, le nom de votre partenaire  croyez-moi tourné hymne dans les années quatre-vingt. Considéré décennie perdue, mais en fait une période où les arts ont prospéré, la participation populaire, les actions de la société civile; mais aussi l'augmentation de la dette par des intérêts exorbitants payés au FMI, l'expansion géographique horizontale des bidonvilles, l'augmentation de l'inégalité sociale, d'énormes poches de pauvreté dans les métropoles,  grandes et moyennes villes, la concentration de la richesse, la corruption et surfacturations des travaux publics, la spéculation financière, un paysage quelque chose tourne qui va conduire à la richesse« émergents »!
La «chose» pour les États-Unis se passait bien et bleu en Amérique latine sur les plans économique, financier, politique et diplomatique et ont eu tendance à l'amélioration avec la nouvelle «vague» de l'empire: la mondialisation et le néolibéralisme qui a d'abord été une expérience au Chili pendant la dictature de Pinochet dans le 11 septembre 1973! Chili au monde: Thatcher en Angleterre (1979); Reagan Etats-Unis (1980); Helmut Kohl en Allemagne (1982) et au Brésil (1990). Néolibéralisme est arrivé au Brésil sur le jetski Collor qui a ouvert les portes "et les jambes» de la nation au discours néolibéral unique et les prescriptions du Consensus de Washington. Prier Cartilha néolibérale Collor concentré le feu Vargas étatisme avec de l'artillerie lourde contre la fonction publique. La corruption a renversé le président Collor en 1992, mais le plan néolibéral a fleuri et prospéré avec FHC, le roi de la privatisation, les banques de sauvetage, la concentration de la richesse, la réforme des retraites, les attaques contre les droits sociaux et du travail (coût Brésil), compression des salaires et réduction des dépenses publiques. Le sous-investissement dans des domaines tels que la nourriture, le logement, la sécurité publique, la santé, l'éducation, les transports en commun augmentera la violence, l'insatisfaction générale avec les politiciens et la corruption et augmenter stratospherically le nombre de pauvres et misérables dans tout le pays! Le démantèlement de l'Etat et de l'attaque sur le populisme économique (gains sociaux, les droits du travail) donneront une fin au gouvernement FHC-PSDB et mener l' Parti Travalhadores et Lula à la présidence en 2003.
Les États-Unis devons pas non plus inquiéter le gouvernement PT,
que communiste n'a jamais rien eu; bénéfices capital non interrompue de capitalistes et ni le ferait et pourraient tous être «le même pas de Abrantes" n'a pas la revanche, le sentiment de vengeance, la colère, la haine, la rancune contre le Parti des travailleurs retranchés la le bec et les cœurs des PSDB, ops, les toucans! 
  Après quatre défaites consécutives au PT, deux pour Lula et deux pour Dilma, le PSDB et ses alliés, en particulier l'Oncle Sam, les organisations Globo et FIESP - Fédération des industries de l'État de São Paulo, a décidé d'appliquer un véritable coup d'Etat au Brésil. Le dépôt du PT ou «La merde au pouvoir» commence le jour après l'investiture de Lula en 2003, prend de l'ampleur en 2005 avec le mensalão PT et est réalisé sur 12/05/2016 avec le dépôt de Dilma Rousseff dans un coup d'Etat Lava Jato PT!
Les problèmes pour les Etats-Unis au Brésil ont fini. Mais non!

Mais ce qui a fait Lula mécontenter l'Oncle Sam? Pratiquement rien, si rien ne se trouve sur les programmes sociaux pour les travailleurs à faible revenu, pauvres et misérables, une vraie misère, mais a assuré le PT quatre termes interrompus par le coup d'Etat "impeachment".
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Qu'est-ce vraiment arrivé au Brésil pour la nation tournée mission et l'objectif géoéconomique et géostratégique pour les États-Unis?
Réponse brève: la principale et la plus mortelle arme de guerre de notre temps: la découverte des  méga gisements de pétrole et de gaz naturel de la couche pré-sel en 2007! Tout le temps, étaient liés au poids géopolitique de la pré-sel toutes les stratégies et les stratagèmes tracées contre le PTIls étaient liés au poids géopolitique de la pré-sel donnerait le Brésil l'équilibre mondial du partage du pouvoir entre les pouvoirs et en particulier la méga puissance qui donne aux États-Unis qui non seulement permettrait de dégager en un seul coup d'impositions et les menaces des pays exportateurs l'huile du Moyen-Orient  et surtout le contrôle russe sur l'Europe!
Le pétrole est la base de l'énergie du monde et continuera d'être pour un bon siècles, est ce qu'ils veulent les Etats-Unis et ce qui les garder avec le sceptre et la couronne des empereurs sur la planète! La mission de tenir la pré-sel pourrait être barré par un «gouvernement populiste» qui non seulement réélu Lula, élu et réélu ministre des Mines et de l'Energie, Dilma Rousseff.

www.google.com.br/images.Prés-sel. Patrimoine de l'Union. L'huile est le nôtre! Telle est la véritable  d'horreur géoéconomique, géopolitique et géostratégique pour les USA!


Sortie: éteindre "La merde au pouvoir." Comment? Invalider le premier gouvernement Dilma Rousseff, coup frustré par boom de la croissance économique dans le pays depuis 2007 et l'euphorie de la population avec la découverte de pré-sel! La solution consistait à parier sur le plus grand crime de corruption de tous les temps les crimes de Lava jato - crimes d'instruction connectés sélectivement à la PT et manipuler psychologiquement la population contre Dilma, Lula, PT et le numéro 13!

L'opération qui a déclenché le début de Lava jato est devenue publique en Mars 2014 années d'élection présidentielle et un accord entre les parties concernées ne permettait pas la contamination des élections (à la fois PT et PSDB étaient soupçonnés de crimes de Lava Jato) et Dilma Rousseff réélu! Rêves frustrés pour maintenir la pré-sel via PSDB, le chemin était lOoncle Sam, avec l'aide des médias (Globo, Bandeirantes, SBT, Record) créer un paysage de terreur et de haine contre le PT et mener à la fois l'impeachment que de grandes manifestations à partir de Mars 2015 pour justifier une intervention des Américains dans le pays!
Détruisait le PT, Lula et Dilma le chemin était ouverte pour mettre fin aux enquêtes de Lava jato, nettoyer le bouchon des principaux partis politiques et corrompu et logique de prendre possession de la pré-sel! Le Odebrechet "suggéré" la possibilité de mise en accusation Dilma grâce à des "études profondes" de Miguel Reale junior et Janaina Paschoal, tous deux liés à la PSDB et soutenu par Bicudo anciens PT, des dénonciateurs. Le crime de Dilma:
le pedaladas (cyclisme) et la signature des décrets sans l'autorisation du Congrès. Il était armé du coup d'Etat qui a cristallisé au 12/05/2016. Plan A: dehors Dilma, entre Michel Temer, convoquer de nouvelles élections et le retour triomphal du PSDB à un "Toucanato" PSDB lumineux et rayonnant! Mais ..

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www.google.com.br/images. L'autonomie et l'expertise dans l'exploration, le raffinage, la distribution et la vente de pétrole et de gaz natual, mais l'ordre est «assis dans le barillet" prix de jeu sur le terrain et F * OPEP et russe! Aussi simple que ça! Pauvre Joy
peu dur.
La chose devenait russe; le long du chemin il y avait une pierre: PMDB, groupe coronelista oligarchique, les grands propriétaires terriens,  amoureux du travail esclave et le parti le plus corrompu au Brésil! La corruption dominante PMDB au Congrès avec Eduardo Cunha et Renan Calheiros a maintenant la présidence de la République, Michel Temer et contrairement au parti asservi PSDB aux États-Unis, PMDB corrompus ne fournissent pas l'os, ops, pré-sel sans assurer leur parasitisme héréditaire et de la répartition des richesses et le vol dans les coffres publics si facilement! Ne pas livrer pas cher, il est un fait, et sont des experts en charge des pots de vin extrêmement élevés. Il est pas le seul parti corrompu, mais prend la pole position avec le PP, PR, PSDB, PRB, DEMO, PT, citant le chef des 28 parties impliquées dans des crimes de corruption de Lava Jato.
www.google.com.br/images. 28 partis reçus et facturés pots de vin; PP est le parti le plus corrompu dénoncé le opération de Lava jato; le  MPF - ministère public fédéral uniquement axé sur PT PP, PMDB; Aécio Neves et soeur, Anastasia, Romero Juca et beaucoup d'autres politiciens du PSDB sont impliqués dans des crimes de Lava jato et sont blindés! La mission est de détruire le PT.


Août 2016: de tout angle vous regardez "La chose est russe!"
Quatre-vingt dix jours après l'usurpation du pouvoir et le bâtard ne peut pas gouverner le pays ou mener les «réformes profondes et la privatisation nécessaire" pour sortir le pays de la crise politique qu'ils ont eux-mêmes créé et tout parce que, dans une année d'élections municipales de 5570 municipalités, il y a un lutte intestine pour les maires et les conseillers! Le PT est allé de l'avant: se retira à la base; Dilma laissée seule dans la ligne de front pour sauver sa «biographie» de la lutte pour la liberté et la démocratie contre "vaches en uniforme."
Dilma ne revient pas? Dilma ne revient pas?
Michel Temer, Eduardo Cunha et Renan Calheiros, acteurs clés de Lava jet, médaille d'or dans la corruption, restent au pouvoir jusqu'aux élections de 2018 et a appelé à de nouvelles élections de 29/08/2018?
Et le PSDB? En plus de comploter contre le PT et  livrer le pays gratuitement à la PMDB accepter simple «gouvernance» et être le plus grand perdant dans indigestes gestion Michel Temer?Bien entendu, après PT  la cible pemedebista se tournera vers les toucans, le deuxième parti en nombre de municipalités et députés et sénateurs et la corruption! Parlementaire mon cher Watson, ops, élémentaire!

terça-feira, 16 de agosto de 2016

BRAZIL: GEOPOLÍTICA ESTADOS UNIDOS x BRASIL

 A COISA TÁ RUSSA!

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www.google.com.br/images. Manifestações Fora Dilma, Impeachment Já. Eis a síntese da filosofia de vida e projeto de nação para os Coxinhas! Autoritarismo, ditadura militar e o Brasil "de quatro" para os Estados Unidos.

Marina da Silva

Que tio Sam nunca levou o Brasil a sério como nação soberana, sempre ridicularizou os políticos brasileiros, um bando de provincianos e desprezou a população como meros macacos é historicamente conhecido; assim como a aversão brasileira aos Estados Unidos, salvo os Coxinhas (uma facção classe média irracional, egoísta, conservadora; cujo ápice de consumo se encontra em Nova York, Miami e Disneylândia) e que volta e meia clamam pela intervenção estrangeira EUA no Brasil valendo-se da máxima: As Américas pertencem aos americanos!
O gigante bobalhão, assim é conhecido o Brasil, deitado em berço esplêndido de riquezas, nunca meteu medo a ninguém menos ainda aos Estados Unidos. O Brasil é o país do futuro ou “A chave para o futuro”, teria dito Richard Nixon [1968-1974] a seu assessor de Segurança Nacional Henry Kissinger; é o que conta Matias Specktor em Kissinger e o Brasil. A verdade é que lendo Matias o que se deduz é que os Estados Unidos não estavam nem aí para o Brasil e seus generais e menos ainda para a diplomacia brasileira! Os norte-americanos não tinham nenhuma intenção de “empoderar” o Brasil, mesmo que fosse para manipulá-lo, pois o gigante bobão era considerado país amigo, leia-se, faz tudo o que seu mestre mandar e nação “desimportante” no xadrez mundial bipolar disputado contra a poderosa Rússia!
Os EUA tinham coisas grandes a conquistar entre elas: a Lua (1969), abrir parceria com a China comunista (1972), fechar Tratado de não-proliferação de bombas atômicas com os socialistas/comunistas russos- URSS (1972), encerrar a derrota, ops, guerra com o Vietnã (1973), policiar questões entre Israel, Egito, Síria; lidar com a crise do petróleo no Oriente Médio, etc e o caso Watergate que culminou com a renúncia de Nixon em 1974!
O risco do Brasil ser apoderado pelos comunistas era zero após o golpe militar de 31-03-1964. As “vacas fardadas”, auto-denominação dada por um general, preocupavam-se somente com os superávits na balança comercial, perseguir, prender, torturar, matar sadicamente brasileiros que lutavam contra a ditadura e desfilar suas fardas, forças!
A parceria Estados Unidos - Brasil, se existiu, não saiu do papel e cabeças de Kissinger e Silveira, o diplomata brasileiro; fato que se conclui da pesquisa e análise da correspondência entre ambos por Matias.
Para Kissinger os Estados Unidos é uma potência ambivalente “Agindo em nome de toda a humanidade” e, claro, impondo sua Ordem mundial, Brasil incluso! Por ambivalência entenda-se: sob o extenso véu de “destino manifesto” tem os EUA a missão divina de levar aos infiéis o culto e louvor aos valores da “liberdade”, república e democracia (está última não necessariamente louvada fora da América) camuflando a ambição, motivação imperialista voraz, cruel e infinita de Tio Sam! Só para constar: toda nação metida a império recebeu a mesma "missão divina"!
Desde o último quartel do século XIX, os EUA eram assumidamente uma grande potência que se estabeleceu de vez como superpotência com louvor no curto século XX marcado pelo Crash da Bolsa em 1929; duas Grandes Guerras mundiais que arrasaram com as potências europeias e Japão e tendo como oponente apenas um rival de peso: os  super empedernidos  e imperialistas russos durante a Guerra Fria. O mundo se dividiu em dois blocos: capitalistas liderados pelos Estados Unidos e comunistas liderados pela URSS-União das Repúblicas Socialistas Soviéticas (leia-se Rússia). O que impediu uma superpotência de engolir a outra? A bomba atômica, pois tanto russos como americanos sabiam que uma terceira guerra mundial atômica seria entrar numa fria ainda maior!
Os norte-americanos estavam construindo uma nação "do meio do nada" a partir do século XV, período do descobrimento do novo mundo enquanto os russos estavam se expandido territorialmente expulsando os tártaros e  se impondo e construindo um império de dar inveja e açular a cobiça das potências europeias com Ivan-o grande; Ivan-o terrível; Pedro-o grande; Catarina-a grande. Aliás, tudo que se refere à Rússia é grande e terrível: um vasto continente frio, poderoso, grandioso e geopoliticamente astuto, inteligente, cruel, dono de imensas riquezas como petróleo e gás natural que abastecem uma enormidade de países, Europa inclusa. A dependência energética é a principal arma geoestratégica que permite "os abusos" da Rússia contra os vizinhos e calam os europeus diante de todas as atrocidades de guerra cometidas pelos russos contra seu próprio povo, os soviéticos, em todo o século XX. A  dificuldade em vencer a força russa: vastidão territorial, clima extremado e principalmente a lealdade, coragem e resistência do povo às inúmeras adversidades, além do caráter duro, empedernido e sanguinolento dos que comandam acabou por criar no senso comum dos brasileiros a expressão: a coisa está russa para grandes dificuldades e perrengues da vida! Quando no Brasil alguém afirma que "A coisa tá russa" saiba que é praticamente impossível vencer o obstáculo mesmo dispendendo muitos esforços e força extra! Se o negócio está russo vai dar merda! É lei.
Enquanto os EUA criavam uma poderosa nação, no mesmo período o Brasil passava de colônia de exploração portuguesa [1500-1822] a império explorado por ingleses, portugueses, holandeses, franceses e etc [1822-1889]. República velha de 1889-1930 dominada por oligarquias coronelistas, latifundiárias, escravagistas, o país entra na República nova [1930-1935] fundada por Getúlio Vargas que em seguida cria um "estado novo", ditadura cruel, sanguinolenta [1935-1945]. Com um golpe, Vargas reorientou a economia para a industrialização marcando o início do capitalismo no Brasil incentivando a “substituição de importações”, a indústria de base.
Em comum, EUA e Brasil tem o "nascimento" e a colonização por europeus (espanhóis, franceses, ingleses, portugueses, holandeses...). São duas nações que se fundaram "do nada" em terras "desabitadas" por milhões de indígenas. Conta-se que "Antes que o homem aqui chegasse as terras brasileiras eram habitadas e amadas por mais de três milhões de índios, proprietários felizes das terras brasilis": Tupis, Guaranis, Tapajós, Aymorés, Carijós, Caetés, citando alguns exemplos. O mesmo se canta sobre as terras norte-americanas: Apaches, Sioux, Cheyenne, Cherokee, Comanche e etc. 
Se o Brasil "inspirou cuidados" geoestratégicos e geopolíticos aos Estados Unidos, estes foram provocados por Fidel Castro que abriu para os "latinos" a alternativa ao capitalismo, o comunismo russo.  O espalhamento da opção comunista atraiu a América Latina e reacendeu o comunismo no país que praticamente estava morto e sepultado por Vargas na perseguição e dizimação da "Intentona comunista de Prestes e dos integralistas". Vargas não era fã de tio Sam e flertava abertamente com Hitler; flerte abortado ali no nascedouro quando o Brasil foi à Segunda Guerra Mundial logrando tanto gregos como troianos, ops, russos e alemães.
A geoestratégia dos norte-americanos para o Brasil a partir de então foi a consolidação do capitalismo com transferência de indústrias, principalmente as indústrias "sujas", altamente poluidoras, fazendo vistas grossas à ausência de liberdade, justiça, democracia, direitos humanos e "expurgos" dos ditadores. A internacionalização de indústrias e capitais matou dois coelhos com uma cajadada: fortaleceu a hegemonia dos Estados Unidos na América Latina e barrou as aspirações comunistas da Ordem socialista/comunista da URSS-Rússia abaixo da linha do Equador!
A enxurrada de capitais alimentou o desenvolvimentismo de Juscelino Kubistcheck, o JK e o sonho de acelerar o crescimento do Brasil - 50 anos em 5 - agradou aos  conservadores e ditadores e jogou o país num endividamento externo absurdo e cativo ao Fundo Monetário Internacional.
Brasil quem te USA (Unit States of América) não te AMA denunciava a esquerda nas primeiras eleições livres e democráticas de 1989! Brasil mostra tua cara quero ver quem paga pra gente ficar assim. Brasil qual é o teu negocio, o nome do teu sócio confia em mim virou hino nos anos Oitenta. Considerada década perdida, mas na verdade um período onde floresceu as artes, a participação popular, as ações da sociedade civil; mas também  o aumento do endividamento pelos juros exorbitantes pagos ao FMI, a expansão geográfica horizontal das favelas, o aumento da desigualdade social, enormes bolsões de miséria nas metrópoles, cidades grandes e médias, concentração de riquezas, corrupção e superfaturamento de obras públicas, especulação financeira, uma "paisagem "vale tudo" que dará origem aos ricos "emergentes"! 
A "coisa" para os Estados Unidos ia de vento em polpa na América Latina tanto no aspecto econômico, financeiro, político e diplomático e tendia a melhoras com a nova "onda" do império: globalização e  neoliberalismo que primeiramente foi um experimento no Chile em plena ditadura do carniceiro Pinochet em september 11, 1973! Do Chile para o mundo: Thatcher na Inglaterra(1979); Reagan nos EUA (1980); Helmut Kohl na Alemanha (1982) e Brasil (1990). O neoliberalismo aportou no Brasil no jetski de Collor que abriu as "portas e as pernas" da nação ao discurso único neoliberal e às prescrições do Consenso de Washington. Rezando a Cartilha neoliberal Collor centrou fogo ao estatismo de Vargas com artilharia pesada contra o funcionalismo público. A corrupção derrubou Collor em 1992, mas o plano neoliberal frutificou e prosperou com FHC, o rei das privatizações, salvamento de bancos, concentração de riqueza, reforma da previdência, ataques aos direitos sociais e trabalhistas (custo Brasil), arrocho salarial e cortes nos gastos públicos. O sub-investimento em áreas como alimentação, moradia, segurança pública, saúde, educação, transporte público elevará a violência, a insatisfação geral com os políticos e corrupção e aumentará estratosfericamente o número de pobres e miseráveis em todo o território nacional! O desmonte do Estado e o ataque ao populismo econômico (conquistas sociais, direitos trabalhistas) dará cabo a FHC-PSDB e levará à ascensão o PT e Lula. 
Os EUA também não precisariam se preocupar com o governo petista que de comunista nunca teve nada, não interrompeu os lucros capitais dos capitalistas e nem o fariam e tudo poderia ficar "como dantes no quartel de Abrantes" não fosse o revanchismo, o sentimento de vingança, raiva, ódio, rancor ao PT entranhado no bico e coração do PSDB, ops, dos tucanos! Após quatro derrotas seguidas para os petistas, duas para Lula e duas para Dilma, o PSDB e aliados, destaque para  Tio Sam, rede Globo e Fiesp resolveram aplicar um verdadeiro golpe de estado no Brasil. A deposição do PT ou "A porcaria no poder" se inicia no dia seguinte à posse de Lula em 2003, ganha força em 2005 com o Mensalão PT e se concretiza em 12-05-2016 com a deposição de Dilma Rousseff num golpe de estado Lava jato PT! Os problemas para os EUA no Brasil terminaram. Só que não!
Mas o que fez Lula para desagradar tio Sam? Praticamente nada, se nada for relativo aos programas sociais voltados para os trabalhadores baixa-renda, pobres e miseráveis, uma verdadeira miséria, mas que garantiu ao PT quatro mandatos interrompidos com o golpe "impeachment".
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O que realmente aconteceu no Brasil para que a nação virasse missão e meta geoeconômica e  geoestratégia para os Estados Unidos?
Resposta curta e grossa: a principal e mais mortífera arma bélica da atualidade: a descoberta(?)* em 2007 dos mega campos petrolíferos e de gás natural da camada pré-sal! O tempo todo, todas as estratégias e estratagemas tramados contra os petistas estavam ligados ao peso geopolítico que o pré-sal daria ao Brasil na balança mundial da partilha do poder entre as potências e principalmente o mega poder que dá aos Estados Unidos que não só se liberaria em uma única tacada das imposições e ameaças dos países exportadores de petróleo do Oriente Médio** e principalmente do controle russo sobre a Europa!
O petróleo é a base energética mundial e continuará sendo por uns bons séculos, é o que pretendem os Estados Unidos e o que os manteriam com o cetro e coroa de imperadores do planeta! A missão de apossar do pré-sal poderia ser barrada por um "governo populista" que não só reelegeu Lula como elegeu e reelegeu a ministra de Minas e Energia Dilma Rousseff.

www.google.com.br/images. Pré-sal patrimônio da União. O petróleo é nosso! Eis o verdadeiro horror geoeconômico, geopolítico e geoestratégico para os EUA! 



A saída: colocar para fora "A porcaria no poder". Como? Inviabilizando o primeiro governo Dilma Rousseff, golpe frustrado pelo boom de crescimento econômico no país desde 2007 e a euforia da população com a descoberta do pré-sal! O jeito foi apostar no maior crime de corrupção de todos os tempos-os crimes da Lava jato - investigando seletivamente os crimes ligados ao PT e manipulando psicologicamente a população contra Dilma, Lula, PT e o número 13! A operação que deflagrou o início da Lava jato veio a público em março de 2014 ano das eleições presidenciais e um acordo entre os partidos envolvidos permitiu  a não contaminação das eleições (tanto PT como PSDB eram suspeitos de crimes na Lava Jato) e Dilma Rousseff acabou levando a melhor! Frustrados os sonhos de apossar do pré-sal via PSDB, o jeito foi Tio Sam, com ajuda da mídia (Globo, Bandeirantes, SBT, Record) criar uma paisagem de terror  contra os petistas e conduzir tanto o impeachment como as grandes manifestações a partir de março de 2015 que justificariam até uma intervenção dos norte-americanos no país!
Destruindo o PT, Lula e Dilma o caminho estava aberto para colocar um fim nas investigações da Lava jato, limpar a ficha dos principais partidos e políticos corruptos e de quebra apossar-se do pré-sal! A Odebrechet "sugeriu" a possibilidade de impeachment através de estudos profundos de Miguel Reale Júnior e Janaína Paschoal, ambos ligados ao PSDB e amparados por Hélio Bicudo ex-PT, os denunciantes. O crime de Dilma: pedaladas e assinatura de decretos sem autorização do Congresso Nacional. Estava armado o golpe que se cristalizou em 12-05-2016. O Plano A: sai Dilma, entra Michel Temer, convocação de novas eleições e volta triunfal do PSDB para um brilhante e refulgente tucanato! Mas...
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www.google.com.br/images. Auto-suficiência e know how em prospecção, refinamento, distribuição e venda de petróleo e gás natual, mas a ordem é "sentar no barril" jogar os preços no chão e F* OPEP e russos! Simples assim! Alegria de pobre dura pouco.

A coisa foi ficando russa; no meio do caminho havia uma pedra: PMDB, grupo oligárquico coronelista, latifundiário e escravagista mais corrupto do Brasil! O PMDB que domina a corrupção no Congresso Nacional com Eduardo Cunha e Renan Calheiros agora tem a presidência da República, Michel Temer e ao contrário do PSDB, partido subserviente ao Estados Unidos, os corruptos do PMDB não entregam o osso, ops, pré-sal sem garantir seu parasitismo hereditário e parte da divisão das riquezas e dos assaltos aos cofres públicos tão facilmente! Não entregam barato, diga-se de passagem e são especialistas em cobrar altíssimas propinas. Não é o único partido corrupto, mas ocupa a pole position juntamente com o PP, PR, PSDB, PRB, DEMO's, PT, citando os principais  dos 28 partidos envolvidos nos crimes de corrupção da Lava Jato.
www.google.com.br/images. 28 partidos receberam e cobraram propinas; o PP é o partido que mais investigados tem na operação Lava jato; o Ministério Público Federal focou apenas no PT, PP, PMDB; Aécio Neves e irmã , Anastasia, Romero Jucá e muitos outros políticos do PSDB estão envolvidos nos crimes da Lava jato e estão BLINDADOS! A missão é destruir o PT.


Agosto de 2016: Agora, de qualquer ângulo que se olhe "A coisa tá russa"! Noventa dias após a usurpação do poder e a canalha não consegue governar o país nem conduzir as "reformas profundas e privatizações necessárias" para tirar o país da crise política que eles mesmo criaram e tudo porque em ano de eleições municipais em 5.570 municípios, há uma luta intestina por prefeitos e vereadores! O PT saiu na frente: recuou para base, deixou Dilma na linha de frente sozinha para salvar sua "biografia" de luta pela liberdade e democracia contra as "vacas fardadas". 
Dilma não volta? Dilma Volta? 
Michel Temer, Eduardo Cunha e Renan Calheiros, principais envolvidos na Lava jato, medalha de ouro em corrupção, ficarão no poder até as eleições de 2018 ou convocaram novas eleições a partir de 29-08-2018?
 E o PSDB? Além de arrumar a "cama-de-gato para o PT e entregar o país de bandeja para o PMDB aceitará a mera "governança" e  ser the biggest loser na indigesta gestão Temer? 
Claro que depois do PT o alvo pemedebista se voltará para os tucanos, segundo maior partido em número de municípios e de deputados e senadores e corrupção! Parlamentar meu caro Watson, ops, elementar!

sexta-feira, 12 de agosto de 2016

RUMOREJANDO...partiu! SALVE JOSÉ ZOKNER!

OLÁ
Muiiiiiiiiiiiiiiiiito triste ao saber que Juca Zokner se foi...
Não achei nada no meu fraco português nem no meu mineirês para expressar a honra de ter conhecido Juca e poder republicá-lo no meu blog. Queria fazer uma homenagem e achei um texto que só um douto nas rimas primas poderia escrever e um dos que guardo comigo na minha pasta de arquivo José Zokner. Foi enviado a mim por Juca quando Sérgio Antunes de Freitas nos publicava na revista Kitnet. Boa passagem Juca! Tudibão e cum Deus!
A língua portuguesa, junto com a francesa, são as ÚNICAS línguas neolatinas na face da Terra que são completas em todos os sentidos... quem fala português ou francês de nascimento, é capaz de fazer proezas como esse texto com a letra "P". Só o português e o francês permitem isso... a língua inglesa, se comparada com a língua portuguesa, é de uma pobreza de palavras sem limites... portanto, antes de estudar uma outra língua, se aperfeiçoe na sua, combinado?!

A LETRA "P"

"Apenas a língua portuguesa nos permite escrever isso...

Pedro Paulo Pereira Pinto, pequeno pintor português, pintava portas, paredes, portais. Porém, pediu para parar porque preferiu pintar panfletos. Partindo para Piracicaba, pintou prateleiras para poder progredir.

Posteriormente, partiu para Pirapora. Pernoitando, prosseguiu para Paranavaí, pois pretendia praticar pinturas para pessoas pobres. Porém, pouco praticou, porque Padre Paulo pediu para pintar panelas, porém posteriormente pintou pratos para poder pagar promessas. Pálido, porém personalizado, preferiu partir para Portugal para pedir permissão para Papai para permanecer praticando pinturas, preferindo, portanto, Paris. Partindo para Paris, passou pelos Pirineus, pois pretendia pintá-los.

Pareciam plácidos, porém, pesaroso, percebeu penhascos pedregosos, preferindo pintá-los parcialmente, pois perigosas pedras pareciam precipitar-se principalmente pelo Pico, porque pastores passavam pelas picadas para pedirem pousada, provocando provavelmente pequenas perfurações, pois, pelo passo percorriam, permanentemente, possantes potrancas. Pisando Paris, permissão para pintar palácios pomposos, procurando pontos pitorescos, pois, para pintar pobreza, precisaria percorrer pontos perigosos, pestilentos, perniciosos, preferindo Pedro Paulo precaver-se. Profundas privações passou Pedro Paulo. Pensava poder prosseguir pintando, porém, pretas previsões passavam pelo pensamento, provocando profundos pesares, principalmente por pretender partir prontamente para Portugal. Povo previdente! Pensava Pedro Paulo... Preciso partir para Portugal porque pedem para prestigiar patrícios, pintando principais portos portugueses. Paris! Paris! Proferiu Pedro Paulo.

Parto, porém penso pintá-la permanentemente, pois pretendo progredir. Pisando Portugal, Pedro Paulo procurou pelos pais, porém, Papai Procópio partira para Província. Pedindo provisões, partiu prontamente, pois precisava pedir permissão para Papai Procópio para prosseguir praticando pinturas. Profundamente pálido, perfez percurso percorrido pelo pai. Pedindo permissão, penetrou pelo portão principal. Porém, Papai Procópio puxando-o pelo pescoço proferiu: Pediste permissão para praticar pintura, porém, praticando, pintas pior. Primo Pinduca pintou perfeitamente prima Petúnia. Porque pintas porcarias? Papai proferiu Pedro Paulo, pinto porque permitiste, porém, preferindo, poderei procurar profissão própria para poder provar perseverança, pois pretendo permanecer por Portugal.

Pegando Pedro Paulo pelo pulso, penetrou pelo patamar, procurando pelos pertences, partiu prontamente, pois pretendia pôr Pedro Paulo para praticar profissão perfeita: pedreiro! Passando pela ponte precisaram pescar para poderem prosseguir peregrinando.

Primeiro, pegaram peixes pequenos, porém, passando pouco prazo, pegaram pacus, piaparas, pirarucus. Partindo pela picada próxima, pois pretendiam pernoitar pertinho, para procurar primo Péricles primeiro. Pisando por pedras pontudas, Papai Procópio procurou Péricles, primo próximo, pedreiro profissional perfeito.

Poucas palavras proferiram, porém prometeu pagar pequena parcela para Péricles profissionalizar Pedro Paulo. Primeiramente Pedro Paulo pegava pedras, porém, Péricles pediu-lhe para pintar prédios, pois precisava pagar pintores práticos. Particularmente Pedro Paulo preferia pintar prédios. Pereceu pintando prédios para Péricles, pois precipitou-se pelas paredes pintadas. Pobre Pedro Paulo. Pereceu pintando... Permita-me, pois, pedir perdão pela paciência, pois pretendo parar para pensar... Para parar preciso pensar. Pensei. Portanto, pronto.

Descrição: Juca
[ ]'s Juca



quinta-feira, 11 de agosto de 2016  NOTA DE FALECIMENTOE com tristeza que, Cecilia Teixeira de Oliveira Zokner, Valdirene de Oliveira Zokner, Miriam de Oliveira Zokner Santos, e netos, Giovanna Zokner Gonçalves, Gabriel dos Santos Zokner, Davi dos Santos Zokner informam, que José Zokner, “mais conhecido como Juca” veio a falecer nesta data, 11 de agosto de 2016, às 14:00 e o corpo será velado na Capela Vaticano, Salão Turquesa, situado a Av. Desembargador Hugo Simas, 26 - São Francisco, das 9:00 às 11:00h onde seguirá para o crematório.